Parcourant une large partie du territoire acadien, le film se réapproprie la culture populaire régionale et le chiac, ce dialecte « qui va à l’encontre de ce qui est standard, par sa couleur, ses mots, et qui est donc queer en un sens », selon les termes de Julien Cadieux. Avec son usage de pronoms anglais, il serait parfois en outre plus neutre que le français relativement aux genres, donc peut-être plus près d’une expression épicène, lance le cinéaste à la blague. « Y’a une étoile » se rend aussi à Sainte-Anne-de-Madawaska, à Cap-Pelé, à Baie-Sainte-Marie (rencontrer Daniel Robichaud et ses défis de santé, notamment), et même dans la forteresse de Louisbourg au Cap Breton (Nouvelle-Écosse). C’est là où on fait la connaissance de Luna, une femme trans qui fut soldat et qui est devenue guide-interprète sur le site historique canadien. Malheureusement, elle doit maintenant travailler en anglais dans cet emploi.
مشاهدة المقطع الدعائي على Youtube جرّب مجانًا لمدة 24 ساعةParcourant une large partie du territoire acadien, le film se réapproprie la culture populaire régionale et le chiac, ce dialecte « qui va à l’encontre de ce qui est standard, par sa couleur, ses mots, et qui est donc queer en un sens », selon les termes de Julien Cadieux. Avec son usage de pronoms anglais, il serait parfois en outre plus neutre que le français relativement aux genres, donc peut-être plus près d’une expression épicène, lance le cinéaste à la blague. « Y’a une étoile » se rend aussi à Sainte-Anne-de-Madawaska, à Cap-Pelé, à Baie-Sainte-Marie (rencontrer Daniel Robichaud et ses défis de santé, notamment), et même dans la forteresse de Louisbourg au Cap Breton (Nouvelle-Écosse). C’est là où on fait la connaissance de Luna, une femme trans qui fut soldat et qui est devenue guide-interprète sur le site historique canadien. Malheureusement, elle doit maintenant travailler en anglais dans cet emploi.
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